NIDAVELLIR
Nidavellir, le Royaume des Nains et des Naines, est menacé par le dragon Fafnir. En tant que vénérable Elvaland, vous avez été mandaté.e.s par le Roi. Sillonnez chaque taverne du royaume, engagez les nains.e.s les plus habiles, recrutez les héro.ïne.s les plus prestigieux.euses et constituez le bataillon le plus à même de vaincre votre ennemi mortel !
À chaque tour, misez une pièce sur chaque taverne. Dans le sens décroissant, choisissez un personnage et intégrez-le à votre armée. Chaque Classe de Nain.e.s possèdent un façon de "scorer" qui lui est propre : Forgeron.ne, Chasseur.euse, Guerrier.ière, Explorateur.ice et Mineur. Un recrutement méticuleux vous permettra d’attirer un.e puissant.e Héros.ine dans votre armée.
Vous aurez également la possibilité d’augmenter la valeur de vos pièces d'Or via un ingénieux système de "Coin Building", et donc de prendre le meilleur sur les autres Elvaland.
Nidavellir mélange plusieurs mécaniques bien connues :
Programmation : en début de manche, on sort des cartes qu’on place visibles sur la table. On les répartit dans trois sections. On va ensuite choisir parmi ses pièces laquelle on va placer pour essayer d’obtenir telle ou telle carte dans telle ou telle section. Programmation, donc
Enchères secrètes : selon la valeur de la pièce choisie, on va essayer de se positionner en première position, ou pas. Enchères secrètes, ou pari
Collection : après révélation de chaque pièce pour chaque section de cartes, dans l’ordre des valeurs des pièces jouées, programmées en secret, on obtient une carte que l’on place près de son plateau. Chaque couleur de carte correspond à une classe spécifique : chasseur.se, guerrier ou guerrière, artisan.e
Deck-building (que le jeu nomme… Coin-Building), Engine-building : tout au long de la partie on peut peu à peu améliorer la valeur de ses pièces. Comme tout deck-building, on commence le jeu avec des pièces toutes… pourries, puis on va pouvoir les améliorer, en acquérir de meilleures. Du pur Engine-Building, donc, puisqu’avec ces nouvelles pièces on va pouvoir acquérir de « meilleures » cartes lors des enchères secrètes. Et quand on dit « meilleures », tout dépend bien sûr de sa collection de cartes et de ses besoins stratégiques
Finalement, Nidavellir mélange plusieurs mécaniques connues. Les règles s’expliquent en quelques minutes, en insistant sur les différentes phases du jeu : prog, révélation, acquisition
Pour peu que l’on évolue dans le milieu du jeu de société moderne, on n’aura aucune peine à s’y retrouver
Nombre de joueurs: 2 - 5
Age : 10+